vendredi 4 juillet 2008

Fatziguéééeeeee ...!!!


Bon alors, il paraît que c’est à mon tour d’écrire le billet du jour.
Arf, ça tombe bien, je cumule une méchante fatigue depuis quelques temps, qui semble avoir atteint son apogée aujourd’hui même …

Bon, si vous suivez (cf mon billet de présentation), j’ai, depuis quelques 20 aines de mois, un paramètre nouveau qui gravite autour de moi, et qui a la particularité (outre celle d’être plutôt attachant) de mettre toute sa bonne volonté à m’empêcher de passer des nuits normales.
Et je ne suis pas trop exigeante au départ puisque j’entends par normale, une nuit d’une traite (allez, j’accepte un p’tit réveil nocturne de temps à autre …) et qui irait jusqu’à 7 heures du matin !

J’entends d’ici les potentielles futures môman grincer des dents et remettre soudainement en question leur fervent désir de progéniture … mais je les rassure tout de suite (et essaie de me rassurer par la même occasion) : ça ne dure pas !! … il paraît en tous cas… pitié mon dieu, faites que ça ne dure pas .…(oui oui, je regrette d’avoir volé des fraises tagada au super U quand j’avais 11 ans)

Bon, cette nuit par exemple : « p’tit doux » (mon saboteur de nuit donc) se manifeste (j’entends par là : pousse des hurlements qui prêteraient à croire que quelqu'un attente à sa vie) vers 1 heure 02 du matin approximativement. Là, il me faudra 5 bonnes minutes pour m’extirper de mon délicieux rêve, 3 autres pour comprendre d’où vient ce bruit infernal, 2 pour sortir de mon lit chaud et douillet …
(Inutile de préciser que pendant ce temps là, Desperate Working Husband (DWH) reste imperturbablement accroché aux bras de morphée)

Vers 1 heure 12 donc, je débarque, titubant de sommeil, dans la chambre de p’tit doux.
Et là, c’est parti pour un vrai moment de plaisir en barre : rendormir p’tit doux, et sortir de sa chambre sans le réveiller sachant-que-le-sol-est-en-vieux-parquet-qui-couine-à-chaque-pas.
Ca donne toujours la même scène : moi, debout, plantée à côté du lit, en train de me demander avec jalousie comment font nos cousins les chevaux pour dormir comme ça, et p’tit doux qui tête son pouce en se rendormant paisiblement. Au bout de 3 minutes, je vois son pouce qui glisse de sa bouche, et j’en déduis qu’il dort. Je tourne les talons « couic couic » (ça c’est le parquet), puis « ouin-ouin » (ça c’est ptit doux qui, finalement, ne dormait pas vraiment en fait).

Au bout de 4 tentatives de « couic-couic » / « ouin-ouin », je capitule, prend p’tit doux dans mes bras et le met entre DWH (qui n’a pas quitté les bras de morphée une seule seconde pendant mon périple nocturne) et moi.

Et là, vous allez penser (à tort !) que c’en est fini de ma nuit de galère ! En fait ça n’est que le début… je me demande souvent comment un être si petit peu prendre autant de place …
2 heures du matin : paf un pied entre les côtes, 3 heures : pouf, un coup de tête dans le nez, 4 heures : bim, un genou dans le dos …

Bref, aujourd’hui, telle que vous ne me voyez pas, je dors sur mon bureau … et je ne sais vraiment pas comment je vais pouvoir vous pondre le billet du jour …

DWW zzzzzzzzzzzzzzzzzzz

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